Envole-moi ! (A350F livery contest)

« Comment investir ce qu’on aime tout en essayant de se réinventer ? », c’est la question que je me suis posée quand j’ai lu un tweet d’Airbus le 4 octobre 2022, invitant à participer à un concours pour dessiner la livrée du futur A350F… Allez, je vous emmène avec moi et nous allons retracer cette nouvelle aventure.
Attachez vos ceintures. PNC aux portes, armement des toboggans, vérification de la porte opposée, nous allons bientôt décoller !

Relancer la machine à créer

Au delà du processus créatif à mettre en place, qui me plaisait évidemment, le principal souci auquel je me heurte est ma méconnaissance du monde aéronautique. J’ai bien un petit côté « AvGeek » sur les bords, mais rien de semblable au ferroviaire (et plus particulièrement au TGV). J’aime beaucoup le domaine aéronautique, mais je n’en connais pas les codes : ni esthétiques, ni techniques. J’ai néanmoins décidé de me lancer, totalement à l’aveugle. Et puis, après mon échec au concours TGVM, ça ne fait pas de mal de se remettre en question et de se confronter à de nouveaux défis.

Pour ne rien vous cacher, je suis de ceux qui n’arrivent pas à créer « sur commande ». Typiquement, les concours avec une date limite, sont un véritable calvaire pour moi. Non pas par pression, mais parce que je me retrouve bien souvent « paralysé » sur le plan créatif. L’inspiration vient souvent par une idée toute simple, certains diront « une vision ». Visualiser de façon totalement inattendue et spontanée, un mouvement, un motif, une couleur, et sentir que c’est LA bonne idée, sans forcément réussir à l’exprimer, ni comprendre pourquoi. Mais juste, on a l’idée, et on sent que c’est exactement ce qu’il faut. À partir de ce moment là, plus rien n’arrête la pelote de laine qui se déroule jusqu’à ce que l’idée soit complètement aboutie. Tant que l’idée est là, inachevée ; tant qu’elle germe, elle occupe les pensées, et engendre généralement bon nombre de nuits (quasiment) blanches. Parfois au point de se relever en pleine nuit pour gribouiller sur une feuille, écrire quelques mots, faire une esquisse 3D, afin d’avoir l’esprit libéré, et pouvoir enfin trouver le sommeil… C’est généralement une phase très stimulante certes, mais aussi moralement et physiquement très éprouvante. Sans parler de la disponibilité mentale dans la vie de tous les jours avec l’esprit qui vagabonde à ses pulsions créatives. Oui, cette phase ne demande pas spécialement d’efforts physiques, mais elle obsède les pensées et fait constamment réfléchir, comme une machine qui s’emballerait, en consommant tout son carburant.

Mais comme je le disais, avoir cette « vision », ce déclic, ne se commande malheureusement pas. Et j’ai beau me mettre à dessiner pour tenter d’enclencher la réflexion, je trouve cela rapidement creux, insipide, sans âme ni histoire. Et je préfère (de loin) renoncer que proposer quelque chose en quoi je ne crois pas viscéralement. Cela ne s’apparente pas à un abandon, mais plutôt à une grosse panne d’inspiration, la page reste décemment blanche.

Je ne me lance et ne participe à une aventure que si je suis convaincu que c’est la chose à faire, et si je ressens au plus profond de moi que la façon d’y arriver est la plus naturelle et intuitive pour moi. Et c’est comme ça dans le cadre pro et dans ma vie personnelle. Typiquement, pour le concours TGVM, j’avais changé quasiment tous mes plans à 2 jours de rendre ma copie, pour revenir à l’idée initiale, qui a finalement donné lieu à ma proposition. Parce que cela ne me correspondait pas, je ne ressentais pas l’emballement nécessaire pour me donner le courage de franchir le pas et me dévoiler à un jury au travers d’une création. Alors autant vous dire que me relancer dans un concours comme celui-ci, était un grand défi. Il fallait non seulement reprendre confiance en moi après un échec qui me tenait énormément à coeur, et aussi m’atteler à un domaine auquel je ne connaissais rien. Ce qui n’a rien arrangé. Bref, ça me décourage et les jours passent. En espérant que l’idée arrive un jour, peut-être…

J’ai vraiment cru que j’allais devoir laisser filer ce concours, tellement je me retrouvais bloqué à « vouloir » imaginer, sans toutefois y arriver. A trop vouloir forcer le processus de création, on se bloque tout seul, et il ne vient pas.

Il suffira d’un « signe »

Le point de départ, celui avec lequel je ne transigerai jamais, c’est de ne surtout jamais faire quelque chose de simplement « beau ». Je suis le premier à trouver certains croquis ou designs superbes, mais s’ils ne véhiculent aucune histoire, aucun message, cela devient vite ennuyeux et pauvre. Alors avant toute chose, il faut écrire l’histoire. Et de cette histoire, découleront des motifs, des couleurs, bref : des idées.

Comme je le disais, je me heurtais à la méconnaissance des codes en matière de design et de technique, pour l’univers aéronautique. Je sais jouer avec les lignes d’un train pour imaginer un motif, mais les volumes et zones à décorer sont très différents sur un avion. M’imprégner des codes actuels de l’aéronautique aurait signifié m’inspirer soit du travail des autres, soit de ce qui a déjà été fait. Et je n’aime pas ça. Du moins, ça n’est pas empreint de création, d’originalité.

Par contre, lors de mes essais pour le concours TGVM, les remarques, critiques et compliments faits par mes proches, et par des inconnus, m’ont fait prendre conscience qu’il fallait que je me laisse aller à ma vision des choses, à mon « style », à ma « patte ». C’est là qu’on ma gentiment conseillé de casser les codes pour l’A350F

Le défi que je me suis donc implicitement lancé, a été de me dire « puisque j’avais trouvé une approche qui m’était propre pour le TGVM, pourquoi ne pas reprendre la ligne directrice créative pour l’appliquer à l’A350F ? ». Après tout, ce design du TGVM, c’était vraiment « moi ». Et si au final c’était ça, ma « patte » ? Ce processus créatif, cette histoire, cette analyse… Sans chercher à copier les éléments visuels, si j’avais trouvé mon « courant » de création, l’exploiter serait une nouvelle fois gage de créer quelque chose qui me représente et dont j’allais être convaincu.

Et tout aussi intuitivement, tout comme pour le TGVM, je me suis demandé ce qui distinguait ce nouvel A350F des autres. Et dans les deux cas, cela tient à un signe, à un caractère : le M pour le TGV, et le F pour l’A350. Une unique lettre distingue à elle seule cette version du reste de leurs familles respectives. Elle porte leur identité, leur singularité, et est le vecteur d’idées, de concepts, qui définissent le train et l’avion. Et c’est cette identité, ces singularités, et ce concept, qu’il faut valoriser et mettre en avant dans un design propre à un véhicule.

Alors comme je m’étais penché sur la signification du M pour le TGV, que nous apporte ce « F » ?

Évidemment, le « F » se réfère dans notre cas au transport de marchandises, de « Fret » pour cet appareil, qualifié de « Freighter ». Et quand je me suis penché sur cette lettre, je lui ai rapidement trouvé un côté très géométrique, qui, en l’assemblant à d’autres, pouvait donner une sorte de maillage bien identitaire.

Intuitivement, quand je vois le F, je l’imagine imbriqué avec d’autres F. Comme si chacun représentait un colis de fret, qui trouve sa place parmi les autres, un peu comme un Tetris, pour optimiser la place disponible à l’intérieur de l’appareil.

Et puis entre nous, au-delà d’imager l’optimisation de l’espace à bord de cet A350, je trouve que le motif, répétitif, pourrait donner une impression de maillage, comme un tissu, technique, composite, comme la fibre de carbone qui habille une partie de l’appareil.

Je ne sais pas vous, mais en regardant attentivement un tissage carbone comme celui-ci, j’arriverais presque à distinguer la lettre F dans différentes orientations. Cette évocation me plaît d’autant plus, qu’elle constituerait un clin d’oeil assumé, à la livrée Carbone de l’A350 MSN2

Non seulement j’adore cette livrée Carbone, mais j’y vois presque ainsi un dénominateur commun avec l’A350F : je voulais intégrer un côté symbolisant la constitution du fuselage en fibre de carbone, mais le défi était de faire référence au MSN2, sans copier sa livrée originale, mais tout en y faisant un clin d’oeil. Ce motif de F tissés s’y prête finalement parfaitement ; je crois que je tiens un de mes éléments principaux

Des valeurs, avec un grand « F » !

Avec cet « élan » d’inspiration, j’ai donc une base de motif. Mais impossible de le placer sur l’ensemble de l’appareil, puisque je me retrouve assez contraint en termes de zones qu’il est possible de décorer

On ne touche donc pas aux zones rouges, et on se limite sur les zones bleues. En regardant les photos de l’A350 MSN2, je prends conscience de ce qu’il est possible de réaliser comme motif en peinture sur ces zones bleues, non compatibles pelliculages. Mon motif devait quand même passer, puisqu’il se constitue d’éléments simples et très géométriques en aplats de couleurs. Toujours est-il que les premières esquisses sont certes flatteuses, mais quelque chose me dérange…

Le motif de F tissés donne un effet trop « briques » avec cette orientation, on comprend mal la référence au MSN2. Et l’ensemble est trop lourd visuellement. Les couleurs bleutées me rappellent trop les couleurs classiques d’Airbus, et rien ne distingue particulièrement cet appareil.

En orientant les F tissés selon l’angle naturel de la trainée de l’appareil, on se rapproche un peu plus de la livrée Carbone du MSN2, tout en faisant aisément le lien avec le F du nom « A350F » qui y est apposé en gros. Reste que là encore, le ventre tout gris, et le code couleur global, rendent l’appareil trop terne

J’essaie également rapidement autre chose de plus minimaliste, qui rappelle presque l’esprit de certaines livrées « vintage ». Mais l’ensemble ne me plaît finalement pas, car sans grande histoire ni effet « waouh » évident.

Ce qui va nourrir la réflexion, c’est (un peu comme pour le TGVM), une approche des valeurs de l’appareil. Le site Airbus dédié au projet est assez loquace en la matière.

Extrait du site Airbus

En parcourant le site, des mots/expressions me semblent assez récurrents ou clés :

  • Safe
  • freighter / freight
  • reduce fuel burn / efficient / efficiency
  • Fly / Flying

Globalement, l’idée ressort que cet appareil est optimisé et imaginé pour être plus efficace/efficient, toujours aussi sûr, pour les transports de fret de demain, en consommant moins pour un futur plus propre. On est à deux doigts du greenwashing, mais dans le fond, c’est ça qui dicte la conception de cet appareil. En un mot, on pourrait presque dire que c’en sont les valeurs.

Mais dites-moi, suis-je le seul à remarquer un « caractère » quasi omniprésent dans chacun des points que nous avons listés…? C’est vrai, je trouve que l’on retrouve beaucoup de « F » dans ces expressions. Et si on s’en servait ?

Ces mots structurent les valeurs de l’appareil, soit. Donc nous avons plusieurs possibilités : soit on appose les mots tels quels sur l’appareil, soit on essaie de leur faire dire une histoire. J’ai choisi cette seconde option. En assemblant les mots dans l’ordre qui va bien, on arrive presque à une traduction littérale de ce que nous venons de dire.

A BEAUTIFUL FUTURE FLYING AN EFFICIENT AND SAFE AIRCRAFT

Autrement dit « Un bel avenir en volant avec un appareil efficient et sûr« .

Là aussi, plusieurs choix s’offrent à moi : disposer une seule phrase sur le fuselage de l’appareil, ou enchaîner les phrases et s’en servir comme un motif répétitif.

J’ai choisi cette seconde option pour plusieurs raisons :

  • En écho au style utilisé sur le TGVM, avec la répétition des mots de son manifeste en fond de chaque voiture
  • Car cela me permettait de jouer avec la disposition des mots, tout en permettant deux lectures différentes.

C’est vrai qu’en plaçant le texte judicieusement et sur deux lignes, on peut presque scinder la phrase en deux propositions, qui donnent une portée encore différente aux mots « A beautiful future flying » / « An efficient and safe aircraft« . Soit en français « Un beau futur en s’envolant » / « Un appareil efficient et sûr ».

Cette seconde lecture signe un bel avenir de l’identité de l’appareil, comme si c’était lui qui en faisait cette promesse, et en signant non pas de son nom, mais de sa caractéristique fondamentale.

Des vertes et des pas mûres !

Au final, cet avion doit avoir ce qu’il faut pour nous faire voir la vie en rose. C’est justement le contrepied total que je vais choisir pour son code couleur. Quoi de mieux pour illustrer ces valeurs, qu’une couleur complémentaire au rose bonbon, et éco-friendly par excellence, à savoir, du vert !

Impensable de peindre tout l’appareil en vert. L’idée est vraiment de garder un fond très blanc et clair, léger, lumineux, pour apporter un vrai côté positif et bienveillant. Mais le vert doit venir ponctuer et donner du caractère à cet avion, il doit lui porter chance, il doit être signe d’un avenir meilleur, et se placer comme le porte bonheur de nos expéditions de marchandises par l’avion.

C’est donc parti pour la déclinaison du motif des F tissés en nuances de vert.

Deux déclinaisons voient le jour. Une pour fond foncé, avec 3 nuances de gris et 1 de vert, et une version pour fond clair, avec 2 nuances de vert. C’est cette dernière que je vais garder, dans l’idée d’avoir quelque chose de plus léger. Cela me permet aussi de sortir du gris, et de casser un peu l’inspiration « Livrée Carbone » du MSN2.

Mais il manque quelque chose. Poser un « pattern » répétitif, et des mots, c’est bien, mais où est le liant ? Le propre d’une livrée flatteuse, c’est de savoir jouer avec les volumes et lignes principales/naturelles d’un design.

Assez simplement, en prenant le latéral de l’avion, on extrait des lignes directrices. Je vais jouer sur cela, et souligner le dessin de l’avion, avec des bandes vertes partant de la dérive de l’avion, jusqu’à son ventre. En dupliquant cette courbe, on peut également générer une ligne englobant le profil du cockpit.

On se retrouve ainsi avec une sorte de bande stylisée centrale, qui donne l’impression de s’enrouler autour de l’appareil. Petit clin d’oeil au ferroviaire, puisque la livrée des locomotives « Fret SNCF » se constitue principalement d’une bande bien oblique, blanche, sur fond vert et gris.

Source Docrail

Comme quoi finalement, j’aurai utilisé sur un avion, des références cachées au ferroviaire, et une « patte » découverte sur un concept de livrée pour un TGV…

Au final, l’assemblage de tous ces éléments donne ceci :

Les phrases sont placées au centre, comme si ces mots étaient dans les entrailles de l’appareil. La bande incurvée donne l’impression d’une « coupe » dans le ventre de l’avion, laissant entrevoir ses valeurs, savamment rangées et agencées pour tirer profit de tout l’espace disponible. Le texte est en majuscules et en gris, à l’exception des deux demi-propositions, passées en noir et en police plus grasse, pour faciliter la lecture. La police utilisée est celle des supports Airbus. Les « F » de chaque mot sont passés en vert, comme un rappel à l’identité de cet avion.

En comptant les aplats de couleur, du nez de l’appareil jusqu’à sa dérive (exclue), on trouve ainsi 8 zones : 4 sur fond blanc, et 4 sur fond vert. Ces 8 zones peuvent symboliser les 8 zones de température qui constituent l’intérieur de l’A350F. Le winglet et les moteurs sont gris, pour éviter le « total look vert ». L’ensemble est plutôt dynamique et donne un mouvement dans le sens naturel du décollage. Comme si l’appareil nous incitait à nous envoler avec lui pour découvrir ses promesses.

Bien entendu, je ne m’en suis pas tenu là. Après l’épisode TGVM, j’ai voulu mettre toutes les chances de mon côté pour permettre a chacun d’analyser correctement la livrée, de savoir la lire, la décoder, et apprécier tous les sens cachés et symboles qu’elle comporte. J’ai donc imaginé un petit « flyer », reprenant les visuels de l’avion, et de brèves descriptions pour chaque élément constitutif de la livrée.

Et vous l’aurez évidemment compris, je ne pouvais pas ne pas procéder à une petite modélisation 3D, pour mettre en scène ce que pourrait devenir l’A350F avec cette livrée…

En quelques mots

Si je récapitule, l’idée de cette livrée était avant tout de traduire les valeurs de l’A350F pour faire une livrée belle, et porteuse de sens, ayant une histoire. J’avais la volonté de créer le lien visuel illustrant la filiation de la famille A350, centrée sur la fibre carbone. L’A350 MSN2 l’utilise d’une certaine façon pour cette version passagers, je voulais décliner cet esprit à la version Fret sur l’A350F. Le motif en F tissés se veut donc être un clin d’oeil assumé, réinventant l’impression de fibre carbone, avec un code couleur et une géométrie différents. Géométrie qui reprend l’identité « F » de l’appareil. Elle est d’ailleurs au coeur du concept et s’y décline en vert dans tous les éléments visuels identitaires. Contrairement à un train, dont il serait impossible de lire un texte à grande vitesse de circulation, l’avion dispose de conditions d’observation au sol rendant le texte lisible. Le tout se veut léger, avec un fond blanc, pour inciter au décollage.

La machine a imaginer s’est donc finalement bien remise en marche. Je dois bien avouer ne pas avoir le « waouh » que j’avais pour mon concept du TGVM, mais je dois aussi reconnaître que la démarche est construite et me correspond. La méthode de travail ayant donné cette proposition de livrée, c’est moi. C’est tel que je réfléchis et pense les choses. C’est tel que je les conceptualise. C’est cohérent. J’ai un peu l’impression bizarre d’avoir repris tous les ingrédients du TGVM, et de les avoir déclinés en vert sur un avion. Mais ça me plaît… Force est de constater que c’est assez rare comme philosophie sur un avion, et j’espère de tout coeur que le flyer envoyé à Airbus en guise de participation, permettra au jury d’apprécier et d’analyser le travail et les idées placées dans ce concept.

Merci à vous enfin, de m’avoir lu jusqu’ici. J’espère que le concept vous plaira autant qu’il a occupé mon esprit et qu’il m’a torturé. J’espère que vous m’aurez suivi dans mes raisonnements alambiqués, et que la démarche vous aura un peu atteints. Je souhaite vraiment que tout soit bien compris et j’aimerais qu’Airbus y soit réceptive. Réponse dans quelques semaines !

Publié par Théo

Passionné par la technique du système ferroviaire et celle du matériel roulant, j’ai fait quelques arrêts au cours de mes études, à l’Ingénierie sur IRIS 320, à l’info voyageurs pour TER PACA et à la maintenance tramway chez Keolis. J’ai finalement trouvé ma voie comme conducteur occasionnel sur le RER D, et comme concepteur pédagogique à la Direction de la Traction chez SNCF Voyageurs.

2 commentaires sur « Envole-moi ! (A350F livery contest) »

  1. Bonjour Théo beau travail même si personnellement les avions me laisse indifférent.

    Je voulais juste savoir si la disparition de tes deux articles sur le tgv M étaient dû à un problème informatique, ou peut être tu as dû ou choisis de les supprimer. J’espère que l’on aura la chance de les revoir car ils étaient très instructifs !! D’ailleurs un comparatif entre les différents types de futur matériel à grande vitesse serait intéressant (j’ai essayé ta démarche sur le train avril).

    Désolé pour ce commentaire totalement hors sujet.

    Bonne journée et bon courage pour tes projets.

    J’aime

    1. Bonjour,
      Merci pour ce commentaire !

      Les 2 articles sur le TGV-M sont provisoirement mis hors ligne, le temps du déroulement du projet, pour ne mettre personne en porte à faux concernant la confidentialité du projet, et ainsi ne pas interférer avec mon activité professionnelle.
      Ils reviendront dans quelques temps quand on en saura publiquement un peu plus sur ce train…

      L’idée d’un comparatif entre les futurs rames à grande vitesse est assez bonne, à voir si ce sujet me motive à écrire un nouvel article axxé sur la technique ferroviaire.

      Bonne journée !
      Théo

      J’aime

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